La récupération, c’est le premier pas vers le recyclage. Comment peut-on redonner vie à un objet sans le récupérer ? Ca n’a pas de sens.
Une personne qui aime réellement recycler ouvre plus souvent la poubelle pour voir ce qu’il y a dedans que pour y jeter des choses !
Récupérez au lieu de parler
La « récup » comme on l’appelle, se déroule tous les jours, tous le temps. Il ne passe jamais une seule journée sans qu’un objet soit sauver de l’incinération. La récup est peut-être une maladie rare que seules quelque personnes attrapent. Qui sait ?
Et cette maladie est bien rare parmi les « écolos » qui se vantent de prendre le vélo mais qui partiraient tout aussi bien faire un voyage en Afrique. Elle s’attrape dû à un facteur génétique dit de la « cohérence ».
Une personne cohérente, elle se tait et elle fait !
Donc pour savoir si une personne est vraiment intéressée par la vie et celle de ses enfants, regardez ce qu’il a dans les mains, s‘il a une fourche c’est parfait, un sac d’objet qui sort de la benne aussi, un livre pourquoi pas… c’est l’action personnelle qui fait le mouvement collectif (en l’occurence de réduction des déchets et de la pollution à Chambéry), et jamais le mouvement qui fait le « militant ».
L’homme a toujours fait de la récupération
L’homme est naturellement un récupérateur né. Il sait dès son plus jeune age porter un objet. Tout cela fait bien partie de notre nature, mais la culture occidentale a changé la donne pour amener notre petit enfant à tout mettre dans la poubelle. Mamamia!
Et d’année en année cela devient un réflex irréfléchi, tellement instinctif que l’équipe de Savoie Récup retrouve dans des bennes des ordinateurs, des piles (!), des pack de bières pleines, des vélos, des légos et des objets (+ nourriture) en masse. Cela n’est pas normal.
Nous sommes né pour récupérer tout cela est s’en servir, la récup n’est pas une option pour l’homme libre